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LE MAGAZINE DU BISTRO

Le "blog du bistros des sports" devient un magazine avec des sujets plus larges. Le sport y aura toujours sa place. Les manifestations culturelles et hitoriques locales et régionales auront leurs places le tout agrémenté de photos et videos.

Les Vivien

une famille charentaise

 Le premier connu est Pierre Vivien(t) né vers 1768 dans un lieu inconnu aujourd’hui. Il épouse Marguerite Barouyer à une date et un lieu également inconnus à ce jour. On peut supposer que ce lieu pouvait-être Fouqueure. De leur union naîtra Jean vers 1800 à Mallenville. Jean épouse Marguerite Bourinet vers 1819 à Fouqueure. Les deux époux vont émigrer en Espagne.Pourquoi ? Les membres de la famille sont de fervents catholiques. Au point que l'un de ses membres à été nommé curé de Fouqueure dans les années pré-révolutionnaires. La Révolution venue, la chasse aux prêtres réfractaires est ouverte. Le curé Vivien(t) aurait résisté jusqu'aux années bonapartistes. Mais le régime se durcissant envers les prêtes réfractaires le brave curé est contraint à L'exil. Aurait-il amené dans ces bagages Jean et son épouse ?

Un nouveau régime en place en Espagne à pour but de se libérer de l'occupation bonapartiste. Des groupes de guérilleros se forme dans le pays. Rien d'étonnant que les prêtes réfractaires viennent y chercher refuge. Le curé de Fouqueure peut très bien être un de ceux-ci. Quant à Jean, il a pu s'être engagé chez les guérilleros défendant ses idées anti-bonapartistes.

Si tout cela n'est que supputation, la présence de Jean en Espagne est bien réelle. En effet, ses trois enfants sont nés en Espagne ; L'ainée Marie à  Vara de Rey, 2985, Cuenca, Castilla-La Mancha en 1819, Jean à Vinebre, 2589, Tarragona, Cataluña en 1827 et enfin Jeanne à Cheles, 5978, Badajoz, Extremadura, en 1830.

L'épouse de Jean décédera en 1830. En France la monarchie est rétablie sous Louis-Philippe. Jean peut revenir en Charente. Son épouse, malade, pourra décéder au pays. Sa fille aînée, Marie, épousera en 1844 aux Métairies de Jarnac Jacques Thomas. Son fils, Jean, épousera le 12 juin 1851 aux Métairies Marie Angibault. Onze jours plus tard, le 23 juin 1851, sa deuxième fille Jeanne épousera aux Métairies le frère de sa belle sœur, Jacques Angibault.

Voilà qui chassera la rumeur public qui voyait chez ces trois enfants des origines espagnoles

 

Il est à noter qu'à l'origine le nom de VIVIEN se serait terminé avec un T. Il aurait disparu dans les années 1819 -1820 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

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